White Privilege

Parti courir, no 27. 31 mai 2020. Je suis parti courir. Et je suis revenu. Je suis passé dans des parcs, sur des pistes cyclables, sur des trottoirs, dans plusieurs quartiers résidentiels. Personne ne m’a insulté, personne n’est parti après moi, personne ne m’a attaqué. Personne ne m’a tué. Ahmaud Lire la suite…

La boite à malle

Parti courir, no 26. 29 mai 2020. Je suis parti courir. Il faisait vraiment, vraiment chaud alors j’ai changé de trajet, abrégé la distance et je suis revenu par l’avant de la maison, ce qui m’arrive rarement. C’est là que je me suis fait faire des gros yeux, par ma Lire la suite…

L’grand

Parti courir, no 25. 27 mai 2020. Je suis parti courir. Très tôt. On annonçait un maximum de plus de 33 degrés alors, comme le chantait Elvis, « it’s now or à neuf heures ». En tout cas, à Chambord quand j’étais petit, c’est ce qu’il chantait. Pas mal certain de ça.  Lire la suite…

Trop de télé

Parti courir, no 24. 24 mai 2020. Trop de télé Je suis parti courir. Tout se passe bien, trajet pas trop achalandé. Je cours le long du Canal-de-Chambly un endroit vraiment parfait pour le jogging. Le canal, long de 20 kilomètres, relie Chambly et Saint-Jean-sur-le Richelieu. Si vous ne connaissez Lire la suite…

Pas le temps de penser

Parti courir, no 23. 21 mai 2020 Je suis parti courir. Jusqu’au garage où j’ai décroché mon vélo. Autant je suis mordu et impliqué dans le vélo, autant j’ai été absent sur la route depuis le début de la saison. Combinaison de travaux à faire, de température pas trop clémente Lire la suite…

Antivertigineux

Parti courir, no 19. 8 mai 2020. Je suis parti courir. En fait, non, je ne suis pas parti courir. Pas moyen de m’entraîner ces jours-ci en raison d’un petit problème médical temporaire, le vertige. Pas le vertige qu’occasionne la période que l’on vit mais bêtement un truc qu’on peut Lire la suite…

Un pichou

Parti courir, no 18. 3 mai 2020. Je suis parti courir. Tôt le matin, un net avantage pour ce qui est d’aller en ligne droite. Par contre, moins de monde à éviter, ça fait aussi moins d’histoires à raconter. Tant et si bien qu’au retour je n’avais pas vraiment de Lire la suite…